
Luttez contre les idées reçues en économie avec des arguments :
Bien diriger exige de viser le bien-être psychique.
Pour financer la consommation, vu la baisse du cout du travail et l’automatisation des services, l’argent peut être distribué par la Banque Centrale européenne.
Un État ne se gère pas comme une famille et peut ne jamais payer ses dettes.
La richesse augmente grâce aux dépenses publiques et sociales et avec de moins en moins de travail productif.

La France est enviée pour ses idées politiques, ses avancées sociales, ses terroirs et sa diversité humaine.
L’humanité ne s’est jamais si bien portée. L’égalité réelle et le bien-être n’ont jamais autant progressé que depuis la fin des « Trente Glorieuses » tant en France que dans le monde. Les problèmes d’aujourd’hui, comme le chômage, la précarité et la pauvreté, sont bien plus faciles à résoudre que ceux d’hier, la famine, la maladie, les nationalismes, le manque d’énergie. Les déséquilibres commerciaux et budgétaires rendent possibles le développement.
Les dénis de la baisse du temps de travail et de l’utilité des dépenses publiques et sociales conduisent à une société injuste, inégalitaire et déshumanisée.
Or, il faut au contraire amplifier la distribution de revenus indépendamment du travail, inviter chacun à produire des services publics tout au long de sa vie, placer l’objectif de développement psychique comme priorité de gouvernement. L’Etat doit demander plus aux français mais il doit sélectionner ses dirigeants sur leurs qualités humaines. L’art de gouverner devrait viser le développement psychique.

C’est un essai de politique économique d’un acteur et observateur sincère et engagé qui développe son constat, sa vision et sa suggestion de changement en cinq parties.
La France est attractive et porte une vision lumineuse de l’existence humaine.
Depuis 40 ans, des progrès économiques et sociaux formidables.
Malaise au sommet de la méritocratie: une élite qui déshumanise la société et des français qui souffrent.
Vertus des dettes et de la monnaie hélicoptère.
Poursuivre l’histoire sensée de la France.


Mon désir professionnel est de rendre les dépenses publiques plus pertinentes. Il ne suffira pas d’une vie de consultant.
Je rejoins comme consultant en 1984 la société de reconversion de SACILOR pour financer les entreprises locales, pour conseiller des entrepreneurs, pour accueillir des investissements étrangers et pour créer les premières pépinières d’entreprises.
En 2004, je décris les effets de la mondialisation dans les territoires dans un rapport du Sénat des « Délocalisations : Pour un nouveau colbertisme européen ».
Convaincu de l’utilité pour l’intérêt général de la fin légale des monopoles d’Etat, je suis mandaté par des nouveaux concurrents pour que La Poste, EDF, France-Telecom, Fret SNCF n’abusent pas de leur position dominante.
Je sors des sentiers battus : j’essaie sans succès de convaincre les pouvoirs publics français de financer, avec un dirigeant reconnu mondialement, une grande usine de panneaux solaires. J’initie les relations entre des institutions financières chinoises et des collectivités françaises et facilite ainsi l’obtention de crédits de banques françaises.
1000 EUROS PAR AN ET PAR FRANÇAIS EN ÂGE DE TRAVAILLER FONT UNE GOUTTE D’EAU DANS LA MER MONÉTAIRE !
